Les dirigeants cherchent les résultats. Ils veulent prouver qu’ils possèdent le potentiel nécessaire pour affronter les obstacles qui se présentent dans la vie de l’entreprise, que ce soit vis-à-vis de leurs équipes ou vis-à-vis des partenaires de l’entreprise (clients, fournisseurs, banquiers … )

Le coaching est là pour faire prendre conscience à la personne accompagnée qu’elle dispose déjà de ressources internes qui lui permettront par exemple d’acquérir la bonne posture dans le cadre d’une prise de poste,  ou de faire face à des situations nouvelles ou difficiles.

S’octroyer les services d’un coach, c’est mettre toutes les chances de son côté pour continuer à grandir et à s’adapter de façon permanente, en accord avec ses valeurs et en trouvant du sens dans ses actions.

Mes séances de coaching se réalisent selon un processus très cadré. Pour avoir un véritable impact sur la vie professionnelle des personnes coachées, l’accompagnement doit suivre des étapes bien définies. Mon accompagnement de dirigeants comprend à la fois une transmission de concepts sur l’humain, la communication et le relationnel, et des exercices à réaliser entre les séances pour progresser en pratiquant le « learning by doing ».

Le dirigeant  pourra observer deux phases de changements. La première, nommée « Changement 1 » se tourne principalement vers de nouvelles façons de procéder. Je propose à mes coachés, en fonction de leurs objectifs professionnels, de nouveaux comportements à adopter.

La phase de « Changement 2 » permettra au dirigeant de constater qu’il a évolué dans son appréciation des évènements ou des situations et d‘intégrer sa nouvelle vision des choses à sa façon de gérer ses équipes, son relationnel, sa communication ou d’aborder sa nouvelle prise de fonction dans une entreprise.

La durée de cet accompagnement individuel, ainsi que le nombre de séances, dépendent des objectifs que la personne souhaite atteindre.  Les objectifs du programme de coaching sont intégrés dans un contrat de coaching signé par les parties prenantes : l’entreprise, le dirigeant coaché et le coach. Le nombre moyen de six à huit séances peut être réduit ou augmenté en fonction des besoins émergeant au cours de l’accompagnement.

Quel que soient les objectifs du coaching, ce type de travail sur soi demande un investissement important en temps. Celui-ci est indispensable à la maturation de l’esprit du coaché.

Bon à savoir : le coaching de dirigeant peut tout à fait s’intégrer dans un coaching de transmission d’entreprise, comme dans les autres formules d’accompagnement personnalisé que je propose.

Faire appel à un coach aide à mettre en symbiose les cadres de référence des deux parties. Chaque personne a eu sa propre construction : éducation, formation, environnement, héritage familial,… Bénéficier d’un coaching permet aux deux parties de mieux se comprendre. Nous vivons tous de nos différences.

Par exemple, lorsque le dirigeant affirme que son entreprise doit être performante et rentable, il pourra se heurter à un équipier qui lui répondra que tout ce qu’il veut lui, c’est faire correctement son travail.

Ce type de coaching professionnel accompagne les parties prenantes dans une posture de plus grande compréhension. Chacun est amené à comprendre et accepter qu’il y ait une autre vision des choses. Cela permet une plus grande coopération des personnes aux cadres de référence différents.

Grâce à cette approche, la personne accompagnée améliore sa connaissance de soi et développe une connexion émotionnelle plus riche envers ses collaborateurs. Se connaître soi-même aide le dirigeant à comprendre les raisons des problèmes rencontrés  avec certains profils. Il comprend qu’en fonction du scénario de vie de chacun, on ne réagit pas tous de la même façon face à la même situation.

On analyse ensemble les pensées, les émotions et  les comportements pour mieux comprendre pourquoi une personne réagit ainsi et pourquoi je réagis différemment face à la même problématique.

Le travail de coaching consiste à aller chercher plusieurs situations, à les comparer, à les analyser et à prendre conscience de ce qui « ne va pas ».  On peut par exemple parvenir à cette conclusion « Ce que je fais ne (me) sert à rien ou a tel effet contre-productif. » Il devient alors évident, lorsque j’accompagne le dirigeant dans cette phase de réflexion, de lui suggérer d ‘autres comportements, qui pourraient potentiellement entraîner de meilleurs résultats.